Éducation
Améliorer le système d’éducation et l’accès afin de favoriser l’inclusion sociale
Dans le monde, la question de l’éducation demeure un enjeu central, et plusieurs inégalités à cet égard marquent toujours une partie de la population mondiale. En 2015, les experts comptaient 264 millions d’enfants non scolarisés en âge de fréquenter l’école. Environ 793 millions d’adultes dans le monde sont analphabètes, dont une majorité de jeunes filles et des femmes. (1)
Santé environnementale
L’environnement: un déterminant de la santé considérable
Le concept de santé environnementale « porte sur tous les aspects de la santé et de la qualité de vie des populations qui résultent de l’action de facteurs biologiques, chimiques et physiques de l’environnement, qu’ils soient d’origine naturelle ou anthropique [résultant de l’action humaine]. La santé environnementale englobe aussi les pratiques visant à maîtriser les dangers (agresseurs) qui y sont associés. »
Justice
Améliorer le système de justice dans un esprit d’inclusion sociale
Le concept d’accès à la justice n’a pas de définition précise et renvoie souvent au système de justice officiel (avocats, juges, cours, tribunaux) et à ses procédures (1). Avoir accès à la justice c’est entre autres : avoir accès à des conseils juridiques lorsque l’on en a besoin et à un avocat lorsque sa liberté est en jeu ; c’est pouvoir compter sur les tribunaux pour résoudre ses problèmes au moment opportun...
Gériatrie sociale
Améliorer l’accès aux services en gériatrie sociale
Selon l’Organisation mondiale de la santé, l’un des principaux enjeux en santé et en inclusion sociale au cours des prochaines années sera celui du vieillissement de la population. En effet, à l’échelle mondiale, les experts notent un accroissement important de cette partie de la population (1). D’ici 2050, 16 % de la population mondiale aura plus de 65 ans alors que cette proportion ne représentait que 9 % en 2019 (2).
Santé des femmes
Des soins et des interventions qui répondent aux besoins de santé des femmes
En 2008, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait souligné l’urgence actuelle de considérer la santé des femmes comme un enjeu prioritaire et de considérer les dimensions sociales, politiques et économiques dans les analyses et les programmes (1). À l’échelle mondiale, que ce soit sur le plan de la santé des femmes que celui des inégalités sociales vécues, force est de constater qu’il subsiste toujours des écarts notables entre les pays riches et les pays pauvres.
Santé des hommes
La santé des hommes dans une perspective d’inclusion sociale
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la santé et l’inclusion sociale des hommes réfèrent non seulement aux enjeux qui leur sont propres, mais aussi à l’impact qu’ils peuvent avoir socialement sur la santé des femmes et des enfants, notamment dans les domaines de la santé sexuelle et génésique, de la paternité et de la violence à l’égard des femmes (1).
Santé mentale
Améliorer l’inclusion sociale des personnes confrontées à des enjeux de santé mentale
La santé mentale est de plus en plus reconnue dans notre société comme un élément essentiel à la vie. Composante importante de la santé, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnait « qu’il n’y a pas de santé sans santé mentale » (1). On entend par santé mentale, « un état de bien-être dans lequel une personne peut se réaliser, faire face au stress normal de la vie, accomplir un travail productif et contribuer à la vie de sa communauté » (1).
Emploi
Améliorer l’accès au marché de l’emploi dans une perspective d’inclusion sociale
Le marché du travail présente plusieurs enjeux importants ayant un impact sur la santé et le sentiment d’inclusion sociale. En effet, les études démontrent que le domaine de l’emploi actuel semble peu favorable pour certaines populations telles que les femmes, les personnes en incapacité, celles touchées par le racisme ou encore les gens présentant un parcours scolaire insuffisant aux attentes du marché du travail (2) (4) (6) (7).
Logement
Logement: une pierre angulaire pour favoriser l’inclusion sociale des personnes vulnérables
Le logement est décrit comme un déterminant de la santé, une « condition préalable indispensable » à la santé et une condition de base pour mener une vie saine (1). C’est un droit fondamental et tout le monde sans exception devrait avoir accès à un logement abordable, de qualité, salubre, adapté à ses besoins, avec de l’eau propre et des services d’assainissement.
Sécurité alimentaire
La sécurité alimentaire : un enjeu majeur pour la santé et l’inclusion sociale
Manger sainement, manger suffisamment : est-ce réaliste et réalisable pour toute la population? Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 821 millions de personnes, soit 1 personne sur 9, sont sous-alimentées dans le monde (1). Les Canadien.ne.s ne sont pas épargné.e.s et plusieurs personnes vivent de l’insécurité alimentaire au quotidien.
Pédiatrie et périnatalité sociale
Améliorer l’accès aux services en périnatalité et petite-enfance
En 2018, au Canada, on comptait 375 390 naissances (7). Toutefois, tous les bébés ne naissent pas dans des conditions favorables et la grossesse peut être, pour certaines femmes, porteuse de plusieurs facteurs de risque. En effet, la question des déterminants sociaux et l’impact des inégalités sociales sur les mères et les enfants sont des enjeux importants à reconnaître.
Sécurité publique
Mieux comprendre les enjeux d’inclusion sociale des personnes vulnérables pour une intervention policière adaptée
Tous les jours, les services policiers œuvrent pour protéger la vie et les biens des citoyens, pour maintenir la paix et la sécurité publique, pour prévenir et combattre le crime et pour faire respecter les lois et les règlements en vigueur (1). C’est à travers cette mission que les services de sécurité publique ont un impact sur la santé et qu’ils contribuent au bien-être de la population (2-3).
Dépendance
Améliorer l’inclusion sociale des personnes ayant des troubles liés à l’usage des substances psychoactives (SPA), à la pratique des jeux de hasard et d’argent (JHA) et à l’utilisation d’Internet
Le trouble d’utilisation de substances ou trouble lié à l’usage d’une substance psychoactive (SPA) a longtemps été considéré comme le propre des personnes faibles de caractère ou ayant simplement un manque de volonté (1). Bien qu’il existe des discordances entre le discours médical et le discours social concernant le modèle de la maladie (2), plusieurs auteurs conviennent que les troubles d’utilisation de substances, anciennement appelés abus et dépendance aux substances, constituent une maladie d’ordre médical au même titre que les maladies neurologiques, psychiatriques et chroniques (1).
Sécurité financière
À venir.